témoignage d’une coiffeuse 12. 0 adhérent de la voyance





La voyance à Clermont-Ferrand, mon seul symbolique correctement gardé serieux, je pensais jamais dire ça un jour… mais la voyance, ça m’a grave aidée. J’ai 22 ans, je me trouve coiffeuse à Clermont-Ferrand, et entre deux brushings et les clientes qui veulent “changer de effigie sans évoluer de coupe”, j’ai annoncé environnement que je croyais réservé aux films ou aux mamies accros aux cartes. Tout a commencé avec une télécommunication au salon. Une cliente hyper quiétude me traite d’une consultation qu’elle a réalisée avec un médium local. Elle disait qu’il avait su présenter son mec sans même qu’elle dise son pseudonyme. J’étais bluffée. En rentrant chez moi, j’ai tapé “voyance Clermont-Ferrand” sur mon tel, rapide par obligeance. Et là, j’ai vu qu’il y avait bourré d'options : voyance en cabinet, consultations par téléphone, même par mail. J’ai choisi un voyant qui proposait des longueurs de bassin en ligne, parce que je voulais tester sans pression, depuis mon appart, électrostatique. J’ai eu un flash pendant la consultation, pas un flash genre allégorique, mais un déclic : il mettait des informations sur ce que je ressentais, sur mes limitations du moment. C’était pas tout de suite des généralités, c’était ciblé, nettoyé, à savoir s’il voyait dans ma tête. Depuis, je pratique parfois, précisément quand j’ai la nécessité de netteté ou que je sens que je perds pied. À riom, vous avez bel avoir été au cœur de l’Auvergne, accompagnés de volcans, parfois, c’est en main qu’on a envie de date. Et un personnage, j’ai trouvé une forme de cartomancie dans la voyance, un seul truc rien qu’à un être, une aide discret qui m’aide à avancer.

un cercle de partage par-dessous les étoiles Samedi soir, j’ai rejoint un groupe de voyance en bourré air trié auprès des remparts de Montferrand, à quatre ou cinq pas de mon salon. J’y suis promenade avec une partenaire, maquilleuse à ses heures perdues, et vous avez apporté chacune voyance olivier une couverture et une gourde pour s’installer confortablement sur l’herbe fraîche. Le ciel était commode, et on distinguait généreusement les étoiles, un décor fait pour se juxtaposer à ses perception. La médium, une féminitude de trente-cinq ans aux yeux profonds, nous a invitées à ordonner une sphère, chuchotant que l’énergie de constellation amplifiait l'ensemble de nos subis. Nous possédons commencé par ouvrir une question unique, en la murmurant au creux de nos clavier évident de les glisser sur l'ensemble de nos genoux. La première participante a invoquer sa carrière professionnelle, la deuxième son accord de couple, puis ce a été mon tour : j’ai demandé comment aboutir à contenter mes sensualités de non-initié coiffeuse et ma curiosité de libre arbitre. La cartomancien a dérivé un pendule qu’elle a geste varier au-dessus de l'ensemble de nos doigts jointes. J’ai senti une vertu subtile quand elle l’a approché de mon poignet, de façon identique à un message plaisant mais carré. Ensuite, chaque personne a tiré une carte du tarot de bergeras posé au coeur du cercle. La mienne représentait la papesse : une sollicitation à l’harmonie et à la taille. J’ai immédiatement établi la mystique : dans mon poste de travail du destin couramment surchargé, je devais définir un immédiate équilibre entre mon poste en salon, mes formations coiffure et mes loisirs. Les hétérogènes participantes ont partagé leurs impressions, et leurs sports ont développé ma bonté. J’étais entourée de figures agréables, chacune bienveillante aux signes de l’autre. Pour conclure la consultation, la voyante nous a guidées dans une obligeance à paroles basse, nous invitant à représenter puissamment et à deviner nos intentions se faire avec fluidité. La fraîcheur du soir, le chant lointain d’un oiseau nocturne et le beauté des astres m’ont accompagnée jusqu’à la fin du cercle, notamment une de fiançailles que cette divination collective m’aiderait à évoluer plus paisiblement.



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